Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Opinion - Page 4

  • Pourquoi le Rafale risque de devenir une success story ?

    Il y'a quelques années, même quelques mois, tous les médias étaient unanimes : le Rafale était un avion cher et inutile.

    Pourtant, s'il fallait réellement le prouver, cela était encore une mauvaise analyse du monde journalistique. Le Rafale a toujours été moins cher que ses concurrents, y compris l'Eurofighter, ce dernier ayant un prix bien plus élevé lorsqu'il est rapporté au nombre d'habitants des pays participants, un seul Eurofighter valant 2 fois plus qu'un Rafale pour le contribuable anglais, et ce alors même que le Rafale est construit par un seul pays et le Typhoon par 4.

    Quant à son utilité, le Rafale peut accomplir toutes les missions air-air, air-sol, air-mer mais aussi de guerre électronique ou de frappe nucléaire. L'Eurofighter en comparaison ne pourra effectuer les missions air-sol qu'à partir de 2019.

    Le Rafale est donc un avion complet sur le plan des missions et relativement peu cher, mais est-ce suffisant pour une success story ou le Rafale a d'autres arguments ?

    Ultra-polyvalence

    Premièrement, le Rafale est polyvalent. Pas seulement en terme de missions comme on a pu le voir, mais aussi sur le plan de ses possibilités et de ses évolutions.

    Lorsque dans les années 2000, le Royaume-Uni cherchait un avion pour ses portes-avions dotés de brins d'arrêt mais pas de catapultes, le Rafale fut mis en avant comme une solution à la surprise générale.

    Comment faire décoller cet avion depuis un porte-avions sans catapulte ? Simple, répondit Dassault ! Il suffit de faire comme les russes, grâce à un tremplin disposé en fin de pont. Mais est-ce que le Rafale pourrait décoller à pleine masse, avec tout son armement et carburant depuis ce pont et ce, peu importe la météo ? Bien-sûr, rétorqua Dassault. Et ce, sans aucune modification à apporter au Rafale M (version Marine). 

    Même chose, lorsque les Canadiens lançaient la compétition pour le remplacement des F/A-18. La question était double : savoir si le Rafale pouvait embarquer de l'armement américain et savoir si la modularité du Rafale était telle qu'il pouvait être mis à jour.

    Double réponse : Le Rafale peut emporter tous les types d'armement, y compris Russe, et c'est ce pourquoi les indiens ont pris cet avion, et il est bien plus qu'updatable : il est modulaire.

    Chaque pièce du Rafale est interchangeable. À tel point que le standard F4 du Rafale est bien plus performante que le standard F1, et que tous les Rafale seront constamment mis à jour. Mais, en quoi le F4 est bien plus performant que le F1 ?

    Le F4 a :

    • La capacité d'emporter des missiles air-air Meteor d'une portée de 120km (F1 : 70km)
    • Un radar AESA d'une portée de 200km (F1 : PESA-110km)
    • Deux moteurs M88CGP qui divisent par deux les coûts et temps d'entretien, avec seulement 20% de modifications apportés aux moteurs M88 du F1
    • Un nouveau pod de reconnaissance spécialement adapté au Rafale
    • Un nouveau système de guerre électronique SPECTRA-NG, qui a déjà fait ses preuves dans ses premières versions, en République Tchèque en brouillant totalement les systèmes d'un véhicule lance-missile
    • Le "data fusion", la fusion des données provenant de tous les capteurs du Rafale, lui permettant de voler en pilote automatique à très basse altitude (- de 20m du sol) et donc par toutes les conditions, même de nuit par très mauvais temps
    • Mais aussi des évolutions informatiques qui relèvent du secret défense, comme l'amélioration des processeurs ou de la capacité du disque dur

    Et bien entendu l'évolution du Rafale est garantie pour les 40 prochaines années, avec sûrement l'adjonction d'un drone furtif comme le Dassault Neuron, pour assurer la reconnaissance et la détection des aéronefs.

    Aussi, les Emirats arabes unis avaient par exemple pointé du doigt, le fait qu'en environnement "high & hot" ou "haut et chaud", les moteurs M88 pouvaient êtres un peu justes à pleine charge. Là encore, le Rafale est modulaire, et SNECMA a sorti des moteurs M88 spécialement adaptés à ce genre d'environnement, les M88-9, faisant passer le débit des moteurs de 65 à 72kg/s.

    Un coût à l'heure de vol très compétitif pour des qualités de vol incomparables

    L'un des principaux arguments du Rafale F4 qui est désormais le standard en vente, est son cût à l'heure de vol de 14 000€ contre 24 000€ pour le F-35 ou 21 000€ pour l'Eurofighter. Seul le Gripen, monomoteur et très low-cost, contient les coûts avec 10 000€.

    Aussi, les qualités de vol du Rafale sont incomparables. Un seul Rafale peut prendre la charge de 3 Eurofighter ou 2 F-35, lorsque la masse à vide de l'avion de Dassault est de 9t, contre 11t et 13t respectivement.

    Le Rafale peut voler à Mach 1.8 contre Mach 1.73 et 1.6 pour le Typhoon et le F-35. Et ce, avec des facteurs de charge allant jusqu'à -3.2 / + 11g, contre -3/+7g et -3.5/+4.5g respectivement.

    Enfin, en terme d'autonomie, le Rafale est bien situé avec 1800km comme l'Eurofighter et 800km pour le F-35.

    Les prochaines ventes

    Le Qatar, qui serait en passe de signer 36 avions à la suite de l'Egypte.

    La Malaisie qui commanderait 16 avions.

    L'inde avec 136 avions.

    Les Emirats arabes unis avec 63 Rafale.

    Les ventes hypothétiques selon leur probabilité

    Le Qatar avec 36 avions.

    Le Koweït, si les EAU confirment, 22 avions.

    L'Indonésie, pour un nombre d'avions inconnu.

    La Pologne, pour 64 avions, pour l'instant au niveau de la compétition.

    La Belgique et le Canada, qui ne cachent pas une préférence pour le F-35 mais dont les compétitions ne sont pas encore terminées.

    1373686.jpg

  • [Billet d'opinion] L'hommage militaire aux 9 aviateurs décédés était-il nécessaire ?

    Loin de moi l'idée de réduire le courage de ces personnels décédés lors de l'accident aérien d'un F-16 en Espagne.

    Loin de moi l'idée de dire que cette cérémonie n'aurait jamais dû avoir lieu, car d'un point de vue social cet accident tragique arrive après les attentats de Charlie Hebdo, et l'impact sur la société en est forcément amplifié.

    Lors du dernier accident d'une telle envergure, un Twin Otter de la Force Multinationale et Observateurs au Sinaï s'était écrasé tuant 9 militaires, huit français et un canadien. Pourtant Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la défense (MINDEF) ne s'était contentée que d'un communiqué saluant "leur héroïsme" et celui de tous les soldats.

    Des exemples précédents

    De nombreux militaires de l'armée de l'air ont perdus la vie dans des accidents aériens, avant les années 90 un escadron disparaissait par an, soit près de 15 pilotes. Dans les années 70, bien pires en terme de sécurité aérienne, il pouvait y'avoir un milliers de morts dans l'aviation civile et militaire européenne en une seule année. 

    Un exemple flagrant : Sur les 95 Mirage III C rentrés au service dans les années 60, 55 ont été détruits ou accidentés, cela donne un taux d'attrition de 57,89%. En comparaison, sur les 315 Mirage 2000 entrés en service en 1984, "seuls" 40 ont été détruits, soit un taux d'attrition de 12%.

    Et il y'a bien entendu bien plus d'avions que les seuls avions de combats, il y'a aussi les hélicoptères, notamment de l'ALAT, qui ont certainement connus les accidents les plus mortels. Un AS332 Super Puma du DETALAT Gabon, s'écrasera en 2009, avec 10 personnes à son bord, il n'y en aura que deux survivants.

    Pour ce dernier accident, si Hervé Morin se déplaça au Gabon, Nicolas Sarkozy n'offrit qu'un communiqué témoignant sa sympathie envers les militaires de l'ALAT et du 13RDP.

    Fallait-il faire plus pour un accident aérien ?

    La question est donc la suivante : devrait-on rendre l'hommage aux Invalides la norme pour tous les accidents aériens ou simplement considérer que la violence morale de cet accident à un moment particulier de l'histoire française, est suffisant pour déclencher de tels honneurs ?

    Car il faut bien reconnaître ici que cet événement provoque une injustice majeure aux yeux des familles de victimes des morts pour la France et ceux des victimes d'accidents aériens au nom de l'état.

    C'est par exemple le cas des victimes décédées dans l'accident en 2009 d'un EC145 de la Sécurité Civile lors d'une urgence en Corse. Ces personnels navigants techniques d'Etat du ministère de l'Intérieur et l'équipage médical du SAMU, auraient-ils dû recevoir les mêmes honneurs que les 9 militaires de l'armée de l'air ?

    Cela prendrait d'autant plus de sens que ces derniers sont morts dans un accident dû à leur fonction, et pas lors d'un entraînement, mais ce serait admettre qu'il y'a donc bien une hiérarchie des décès.

    l-helicoptere-de-la-securite-civile-qui-s-est-crashe-en-corse-le-2821667qogkl_1713.jpg

  • [Billet d'opinion] Pourquoi expose-t'on des journalistes médiocres ?

    Personnellement, je suis athée. Pas n'importe quel athée, celui de la race des Charb ou Michel Onfray. De la race des ces athées quasi-haineux qui n'apprécient guère les religions. Pourtant par cohérence, je ne fais pas étalage de mon aversion totale pour ces croyances, à l'opposé même de ce qu'a pu faire Onfray ces derniers jours. D'ailleurs, ce dernier m'exaspère au plus au point dans ces dernières interventions, j'ai plutôt l'impression de voir un Philippe Tesson intellectuel qu'un Aymeric Caron philosophe.

    Bref, je suis un athée radical silencieux, et pourtant j'adhère très souvent aux points de vue et analyse de Tariq Ramadan. Souvent taxé d'un double discours, il est pour moi parfaitement clair sur ses intentions et pensées, il ne présente pas les conflits d'intérêt qu'on peut lui prêter et j'irais même jusqu'à dire qu'il représente la meilleure voie/x pour l'Islam.

    Il avance ses idées consciencieusement et toujours avec la précision nécessaire à être totalement compris, et pourtant souvent les journalistes et/ou chroniqueurs (de plus en plus souvent les deux) lui prête un discours radical inexistant, et surtout occultent souvent qu'il a été professeur dans des universités prestigieuses comme Oxford et qu'il a notamment conseillé le gouvernement britannique et qatari dans des solutions pour lutter contre le terrorisme.

    On a donc d'un côté un intellectuel philosophe qui agit de manière concrète à changer l'Islam, qui condamne fermement Etat Islamique et attentats à Paris, de l'autre, une clique de journaliste absolument incompétent qui ressasse les mêmes poncifs sans même lire les travaux dudit universitaire.

    Mais ce n'est pas tout. Ce n'est pas tout, parce que les attentats du 7 Janvier nous ont prouvé que, effectivement, si les chroniqueurs , ne sont pas très glorieux, c'est bel et bien toute la chaîne journalistique/médiatique qui est à revoir. Nous voilà dans un système très américain, très porté sur la volonté d'afficher de superbes images de terreurs et de gens emplis de tristesse. Obligé de se coltiner sur toutes les chaînes, sans exception, ces mêmes images de journalistes qui se font bousculer par les gendarmes lorsque ces derniers ne leur demande qu'une chose simple et compréhensible : reculer.

    Nous voilà à bouffer des images de policiers faisant leur boulot en continue sur 5, 10, 20 heures. En fait autant que durera la traque/prise d'otage, peu importe l'événement dramatique. Nous voilà à devoir supporter les images de rescapés qui sont dans un état psychologique médiocre après avoir cru mourir, et même d'ailleurs lorsque l'on parle des attentats du 7 Janvier, sur France 3 à voir le corps sans vie d'un des otages exécutés.

    Problème : si la chaîne journalistique est assez médiocre du point de vue morale, et considérant que les chroniqueurs sont eux-mêmes journalistes et font partie intégrante de cette même chaîne, sans jamais la remettre en cause ... comment peuvent-ils avoir un vrai regard critique sans avoir une once de morale ? 

    En d'autres termes, ne vaudrait-il mieux pas confier les interviews de Tariq Ramadan à Patrick Sébastien qui sans être journaliste, est infiniment plus philosophe et plus censé que toute la cohorte de chroniqueurs ?

     

  • Programme politique isonomiste

    Sécurité nationale :

    Réforme des polices - Création de la Sûreté Nationale, regroupant les forces d'intervention nationale, la police judiciaire et l'anti-terrorisme, le renseignement et les compagnies mobiles (CRS + Gendarmerie Mobile).

    Création d'une police régionale, police généraliste, regroupant les polices municipales, les DDSP de la Police Nationale et les brigades territoriales de la Gendarmerie Nationale. Le reste de la Gendarmerie Nationale redevient une police militaire, une police de l'air, une police d'action d'état en mer.

    Les Douanes et les Affaires Maritimes pourraient devenir des polices militaires.

    Création d'une Police de l'environnement, chargée de l'environnement, des parcs naturels, régionaux, des chasses, des pêches et forêts, unification de l'ONF, l'ONEMA et l'ONCFS. Création d'une police judicaire et du renseignement en la matière. Mise en place, au sein des armées et de cette nouvelle police, d'opérations de protection de l'environnement en vue de sauvegarder des animaux en voie de disparition ou des biomes atteints par des crises. Intervention armée dans le cadre de la lutte contre le braconnage. L'armée et la police ne doivent plus défendre que les intérêts économiques de la France mais les intérêts environnementaux de l'humanité.

    Réforme de la Garde Républicaine avec l'ajout de deux régiments dédiés à une police mobile de nouvelle génération. Etude de la situation policière actuelle en région parisienne, possible arrêt de la Préfecture de Police de Paris au profit d'un renforcement de la Garde Républicaine sur Paris et la petite couronne.

    Création d'un service d'urgence social, voir "Social".

    Création d'un Service de Coordination du Renseignement pour coordonner le renseignement entre les services de police de proximité (Police Régionale) et la Sûreté Nationale pour maximiser l'efficacité de l'anti-terorrisme sans mettre en péril les libertés fondamentales.

    Création d'un statut commun de policier et d'un diplôme (comme pour les assistants sociaux), interdiction des syndicats mais autorisation des représentations et formation commune aux trois polices (Sûreté Nationale, Police Régionale et Gendarmerie Nationale) ainsi qu'aux policiers de l'environnement dans des Ecoles de Police nationales, puis qualification à leurs missions particulières dans des écoles de polices spécialisées. Création aussi d'écoles supérieures 

    Mise en place d'un statut de police séparées entre services de police ministériels, interministériels et communaux. Ces derniers nécessitent un effectif de 3 policiers diplômés dont un officier qui hérite du maire (ou du chef de canton) des pouvoirs d'officiers de police judiciaire.

    Possibilité de la mise en commun de la formation initiale avec les Douaniers, les gens de mer des Affaires Maritimes et les surveillants de l'Administration Pénitentiaire.

    Création au sein de la Direction Générale de l'Armement, d'une sous-direction de l'équipement et de la sécurité intérieure, pour la recherche et l'optimisation des services de sécurité intérieure sur tous les plans : vestimentaire, ergonomique, organisationnel, sociologique, procédurales, etc.

    Création d'un Service d'Infrastructure de la Sécurité Nationale, sur la base de l'actuel Service d'Infrastructure de la Défense.

    Sanctuarisation des budgets s'agissant de la sécurité-défense à 5% du PIB (2,5% pour les armées (2,3 actuellement) et 2,5% pour les polices et les services intérieurs (0,4% actuellement)) et à 1% du PIB pour la Justice (0,6% actuellement).

    Création d'un patrouilleur océanique type Gowind de chez DCNS et augmentation de la présence française dans les ZEE, mise en commun des formations maritimes au sein de la Gendarmerie Maritime, la Marine Nationale, les Douanes maritimes, les brigades littorales de la Police Régionale et les Affaires Maritimes.

    Mise en commun des formations aériennes intérieures : Sécurité Civile et Gendarmerie Nationale deviennent le Service Aérien National. L'ALAT, comme la Marine Nationale et l'Armée de l'Air, sera mise à contribution s'agissant des missions de service public, notamment de sauvetage. Les SMUH (Services Médicaux d'Urgence par Hélicoptère) sont nationalisés (fin des entreprises de SAMU et du coût supporté par les hopitaux) sous le joug du Service Aérien National, mise en commun des salaires (doublement pour les pilotes du SMUH), des machines, des entretiens et des formations. Augmentation de 5 machines des hélicoptères du Service Aérien National, et mise en place d'un service avion de transfert médical longue portée. Arrêt du projet européen des "assistants de vol".

    Création d'un Service Animalier de la Sécurité Nationale en charge de la gestion des chevaux, chiens et aigles des armées et de la police. Ainsi qu'une Ecole du Service Animalier. Inclusion des vétérinaires dans la sécurité nationale et création d'un service d'urgence vétérinaire, soit dans la police, soit chez les pompiers.

    Education :

    Mise en place d'un statut de professeur (idem que policier et assistants sociaux) avec une formation commune pour les professeurs d'école publique et privé. Ouverture des concours pour les professeurs d'école maternelle et primaire au niveau Baccalauréat, collège à Baccalauréat+2 (DUT/BTS) et Lycée à Baccalauréat +3. Le concours se devra d'être réussi avec une note d'au moins 15/20 pour s'assurer de la qualité du professorat.

    Réforme de l'éducation, transformation de l'école primaire en une instruction obligatoire dont les matières permettent de savoir compter, lire, écrire, se préoccuper des sujets de l'environnement et de sujets civiques, d'actualité. Elle doit s'étaler de 6 à 11 ans, avec des classes par niveau et par matière, avec des classes plus souvent le matin, tout cela pour correspondre avec les préconisations médicales et psychologiques.

    Fin des écoles privées hors contrat dont certaines sont un abus à la liberté, des centres d'endoctrinement.

    Fin de la notation lors de l'instruction obligatoire (ex-primaire) et notation contrôlée, impartiale au collège et au lycée.

    Favorisation du système d'apprentissage pour accéder à des nouveaux métiers, par exemple un Baccalauréat du Professorat par apprentissage pour accéder plus facilement au métier de professeur.

    Social :

    Instauration du revenu de base en échange d'un service civique ou militaire. 24 mois continus + une remise à niveau chaque année.

    Lors de l'instauration du revenu de base, proposés aux entreprises le choix entre : payer les salaires  ou faire accéder leurs employés au revenu de base en les envoyant en service civique, renforcer leur revenu de base avec un complément d'activité payé par l'entreprise et payer une taxe supplémentaire sur les entreprises.

    Création d'un institut chargé de la surveillance de tout les marchés, en charge de la prévention des incidents financiers.

    Création d'un service d'urgence social en collaboration avec la police : le service d'urgence sociale, destinée aux affaires domiciliaires, intra-familiales, professionnels ou scolaires. Instauration d'un double diplôme d'Etat - Police aux affaires sociales et travail social option ASS, CESF ou ES.

    Mise en place de lois de protection et d'égalité pour les personnes handicapées et/ou à mobilité réduite, notamment en matière d'éducation.

    Lois de protection des personnes intersexuées et/ou transgenres, arrêt des mutilations génitales

    Santé :

    Fin du numerus clausus, seule la capacité à être médecin doit compter, aussi l'examen doit devenir national.

    Fin des tarifs exorbitants des maisons de retraite, et valorisation de la retraite.

    Réforme des SMUH, plus haut dans "Sécurité Nationale".

    Supprimer les mutuelles étudiantes. Les étudiants repassent au régime général. Fin du corporatisme de la sécurité sociale.

    Annuler la baisse de 25 000 fonctionnaires hospitaliers.

    Habitats & transports :

    Création d'un cabinet d'urbanisme de France chargé de protéger l'architecture et les paysages français, notamment régionaux en coopération avec les services de l'environnement, favoriser la construction des éco-quartiers. Arrêt des logements purement sociaux et des quartiers sociaux, démolition progressive des HLM au profit d'habitats responsables.

    Réforme de la chaîne du recyclage, que ce soit pour les produits issus du domicile, de l'industrie, de l'automobile, etc.

    Réforme des transports en remettant l'éco-mobilité au centre. Notamment l'utilisation de vélos ou de transports en commun.

    Environnement : 

    Créer des zones d'urbanisme pour stopper la construction d'immeubles et de maisons galopantes, le bétonnement constant, développer la végétation en zone urbaine, ainsi que le développement d'une plus grande harmonie entre nature et transports. Les routes secondaires pourraient être faites en pavés ou en sable.

    Obliger les nouvelles constructions à favoriser les énergies renouvelables et l'isolation.

    Créer des zones agraires, des zones de protection prioritaire, destinées à sauvegarder la faune et la flaure.

    Création d'une police de l'environnement développée dans "Sécurité Nationale" sur la base des diverses polices déjà existantes.

    Renforcement des sanctions s'agissant des crimes et délits relatifs à l'environnement.

    Aides financières pour l'environnement, pour les isolations thermiques, pour le développement et l'utilisation des transports propres.

    Administration et politique :

    Simplification administrative, avec un ministère dédié à cela, le Ministère de l'Administration Publique.

    Réforme territoriale, suppression des 36 000 mairies de France au profit des cantons. Créations de Centres Administratifs de Proximité. Disparition des pouvoirs de police du maire.

    Fin du cumul des mandats, ainsi que de la possibilité d'avoir un casier judiciaire. Création d'un 4è casier judiciaire, qui relate toute condamnation, y compris d'un tribunal de police, dans les 15 dernières années. Aucune mention sur ce 4è casier ne peut être acceptée.

    Fin de la médiatisation et des budgets à outrance des campagnes politiques, mise en place d'un moyen de communication papier et internet commun à toutes les élections qui permet de faire passer son message politique de manière totalement équitable.

    Limitation des revenus des PDG à 30 fois le salaire du salarié le moins payé de l'entreprise, limitation de la fortune à 1 400 000€ par personnes + 4 000 000€ de fond immobilier.

    Et vous, que verriez-vous à la suite ?